samedi, décembre 14, 2019

Brooklyn Affairs (Motherless Brooklyn)


Une vraie ambiance New York années 50, la trompette de Wilson Marsalis et de très belles images...
Mais outre la forme, ce faux polar (plutôt un film noir façon américaine de ces années là, le titre français n'aide pas) met en avant le droit à la différence: couleur de peau, handicap physique, milieu social;il  illustre aussi les mécanismes du pouvoir (ici dans la sphère de l'urbanisme) et met en avant l'humanisme.

Le film est long, dense, les faits et les personnages interagissent et il faut accepter que le personnage principal interprété par son réalisateur Edward Norton manifeste tous les symptômes du syndrome de Tourette ( moi aussi j'ai vérifié que cette maladie existait).
Mais il vaut vraiment la peine de se replonger dans le vieux Nouveau Monde.


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