mardi, janvier 10, 2006

Angel-A



On décolle vraiment dans toute la première partie du film ; on s’envole pour découvrir Paris en noir et blanc, des images somptueuses en extérieurs comme en intérieurs. On redécouvre aussi la maxime aimes-toi toi-même pour aimer les autres ainsi qu'une nouvelle version très réussie de « t’as de beaux yeux tu sais », dans un décor de sanitaires 1900 ( ?). Les dialogues sont légers et l’humour permet d'adhérer à une situation quasi-mystique.
Mais quand le message devient martelé (bien que parfois un peu inaudible), la magie n’opère plus, nos ailes nous lâchent. On feuillette alors un magnifique album de photos au son d’une très belle musique signée par Garbarek .

1 commentaire:

Sophie a dit…

Très sympathique la grenouille ! Quel est le film à voir ce week-end pour nous qui pouvons de nouveau nous distraire ?