Ken Loach tape dur nous annonce le très estimé directeur du Balzac dans son message de bienvenue. Nous sommes prévenus et le réalisateur n’a pas l’habitude de nous envelopper ses messages avec des rubans… La noirceur de ce film ne nous surprend donc pas: chacun doit survivre aux dépens des plus petits que soit: c’est un condensé de la loi de la jungle et des fables de La Fontaine dans un décor londonien très éloigné des immeubles de la haute finance de Canary Wharf….La figure principale qui mène le jeu (!) est époustouflante et bien sûr ce personnage à la fois exploité et exploiteur permet d’élever le débat pour ne pas poser le problème de façon manichéenne.L'exploitation de l‘homme par l‘homme ( et par la femme ce qui amplifie encore le problème et le débat) n‘est pas nouvelle, mais les modes se renouvellent et Ken Loach nous aide à ouvrir les yeux….
samedi, janvier 12, 2008
It's a free world
Ken Loach tape dur nous annonce le très estimé directeur du Balzac dans son message de bienvenue. Nous sommes prévenus et le réalisateur n’a pas l’habitude de nous envelopper ses messages avec des rubans… La noirceur de ce film ne nous surprend donc pas: chacun doit survivre aux dépens des plus petits que soit: c’est un condensé de la loi de la jungle et des fables de La Fontaine dans un décor londonien très éloigné des immeubles de la haute finance de Canary Wharf….La figure principale qui mène le jeu (!) est époustouflante et bien sûr ce personnage à la fois exploité et exploiteur permet d’élever le débat pour ne pas poser le problème de façon manichéenne.L'exploitation de l‘homme par l‘homme ( et par la femme ce qui amplifie encore le problème et le débat) n‘est pas nouvelle, mais les modes se renouvellent et Ken Loach nous aide à ouvrir les yeux….
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