Sean Pean poursuit trois objectifs en parallèle dans ce film: raconter l’histoire vraie d’un routard qui fuit son milieu familial, nous faire passer un certain message sur la finalité de l’homme qui « n’est pas fait pour vivre seul » et ne doit pas vivre d‘utopies, et surtout nous donner un peu de son élan vers une vie plus proche de la nature où l’on pourrait retrouver le goût de choses vraies et simples: mordre à nouveau dans la pomme dans un paradis retrouvé.
Le film manque un peu de fluidité pour passer de l’un à l’autre de ces trois thèmes et essaye de compenser cette pluralité par des images un peu appuyées ou trafiquées, lyriques diront les inconditionnels, grandiloquentes diront les détracteurs… car ce film vaut la peine d’y consacrer les 2h27 , ne serait-ce que pour voyager facile et pas cher dans les paysages les plus grandioses et parfois les plus reculés des USA. Et puis une fois de plus l'acteur est vraiment le plus sympa des routards ( je nai pas pu résister à mettre sa photo ) rayonnant et très équilibré ( assez éloigné parait-il du vrai Chris qui étit psychologiquement perturbé...).
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