Au début on pense à un film de
potes, le tournage a dû être sympa... Mais on se sent un peu
exclu.
A la différence de En Liberté ( je persiste et signe...), le ressort comique choisi pour ce que l'on pense être une comédie, c'est le choix d' acteurs dits comiques. On attend d'eux qu'ils fassent rire ( et la salle réagit dès qu'ils entrent en scène), pas nécessairement en finesse. Lourdauds ils le sont aussi à la piscine, ce n'est donc pas sur ce registre qu'ils vont faire briller nos yeux.
A la différence de En Liberté ( je persiste et signe...), le ressort comique choisi pour ce que l'on pense être une comédie, c'est le choix d' acteurs dits comiques. On attend d'eux qu'ils fassent rire ( et la salle réagit dès qu'ils entrent en scène), pas nécessairement en finesse. Lourdauds ils le sont aussi à la piscine, ce n'est donc pas sur ce registre qu'ils vont faire briller nos yeux.
Deux acteurs Mathieu Almaric et
Guillaume Canet ne jouent pas d'habitude dans cette catégorie et le
premier (Bertrand le dépressif) est dès l'abord émouvant et
permet que l'on s'intéresse au périple de l'équipe. Quant au
second (Laurent le directeur d'usine), son rôle antipathique,
cassant, brutal est à contre emploi par rapport au capital
sympathie habituel de l'acteur et nous interpelle (un peu).
Au fil des dialogues et des situations de ces hommes et de cette femme (Virginie Efira) en perdition, le film s'avère être une comédie dramatique, on ne rit plus du tout. Leur aventure pour décrocher la médaille prend la dimension d'un sauvetage. On ne nous épargne pas toutes les fêlures, cassures et autres dysfonctionnements de nos vies privées. Mais la fin permet de classer ce grand bain à remous dans les «feel good movies»...
Un mélange (ou une confusion ) des genres? Gilles Lellouche, sait convaincre comme acteur dans tous ces registres; a-t-il a voulu, pour sa première réalisation en solo, offrir cette chance à un grand nombre d'excellents comédiens? Les chiffres ont parlé,il a réussi à attirer les foules: plus d' 1,5 millions de spectateurs à ce jour....
Au fil des dialogues et des situations de ces hommes et de cette femme (Virginie Efira) en perdition, le film s'avère être une comédie dramatique, on ne rit plus du tout. Leur aventure pour décrocher la médaille prend la dimension d'un sauvetage. On ne nous épargne pas toutes les fêlures, cassures et autres dysfonctionnements de nos vies privées. Mais la fin permet de classer ce grand bain à remous dans les «feel good movies»...
Un mélange (ou une confusion ) des genres? Gilles Lellouche, sait convaincre comme acteur dans tous ces registres; a-t-il a voulu, pour sa première réalisation en solo, offrir cette chance à un grand nombre d'excellents comédiens? Les chiffres ont parlé,il a réussi à attirer les foules: plus d' 1,5 millions de spectateurs à ce jour....
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