Premier long métrage pour le
réalisateur Roberto de Paolis, premiers grands rôles pour les deux
jeunes acteurs principaux, ce film présenté à la Quinzaine des
Réalisateurs à Cannes a été presque tourné à la façon d'un
documentaire ; il sait pourtant nous toucher grâce à une
approche intimiste (et très documentée sur le terrain) d'une
réalité sociale et économique difficile.
Il met face à face trois types de communautés dans une banlieue pauvre de Rome, confrontée de surcroît à l'arrivée de migrants : un groupe de paroissiens catholiques engagés dans l'humanitaire, des jeunes voyous qui tentent pour les uns de s'en sortir malgré leur contexte familial défavorisé et des roms. A aucun moment il n'y a clichés (ou est-ce par ce que l'on découvre cet environnement ? ) et tous les acteurs expriment avec intensité leur point de vue particulier engendré par la peur (ou la crainte). Seul le prêtre apparaît comme un être apaisé prêt à guider ses jeunes ouailles.
Il met face à face trois types de communautés dans une banlieue pauvre de Rome, confrontée de surcroît à l'arrivée de migrants : un groupe de paroissiens catholiques engagés dans l'humanitaire, des jeunes voyous qui tentent pour les uns de s'en sortir malgré leur contexte familial défavorisé et des roms. A aucun moment il n'y a clichés (ou est-ce par ce que l'on découvre cet environnement ? ) et tous les acteurs expriment avec intensité leur point de vue particulier engendré par la peur (ou la crainte). Seul le prêtre apparaît comme un être apaisé prêt à guider ses jeunes ouailles.
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