Cette ronde déjantée de personnages (86 selon Telerama) qui livrent leurs angoisses sur le mode drolatique, est pleine de trouvailles tant au niveau des situations que des dialogues et multiplie les références à l'enfance, aux rêves cultivés par chacun. Pour entrer et rester dans la ronde il faut être attentif, vigilant même, car les indices et les intervenants (quel casting!) très nombreux. Aussi sature-t-on un peu lorsque les séquences au Bricodream, le magasin de bricolage de Versailles Rive Droite où se déroule l'action, virent aux bricodrames (jeu de mot emprunté au film) qui se multiplient et s'étirent un peu en longueur;cette partie du film plus faible est signée du frère , Denis Podalydes, de l'auteur et réalisateur Bruno. Dommage car les deux premiers actes de cette comédie, en particulier « bancs publics » au square sont très justes dans les tons tour à tour cynique, humaniste, nostalgique.....
lundi, juillet 20, 2009
Bancs publics
Cette ronde déjantée de personnages (86 selon Telerama) qui livrent leurs angoisses sur le mode drolatique, est pleine de trouvailles tant au niveau des situations que des dialogues et multiplie les références à l'enfance, aux rêves cultivés par chacun. Pour entrer et rester dans la ronde il faut être attentif, vigilant même, car les indices et les intervenants (quel casting!) très nombreux. Aussi sature-t-on un peu lorsque les séquences au Bricodream, le magasin de bricolage de Versailles Rive Droite où se déroule l'action, virent aux bricodrames (jeu de mot emprunté au film) qui se multiplient et s'étirent un peu en longueur;cette partie du film plus faible est signée du frère , Denis Podalydes, de l'auteur et réalisateur Bruno. Dommage car les deux premiers actes de cette comédie, en particulier « bancs publics » au square sont très justes dans les tons tour à tour cynique, humaniste, nostalgique.....
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