Puisque j’ai la chance de pouvoir bénéficier d’une des quatre salles en France qui diffuse ce remake du limier, j’en profite. Et puisqu’ il s’agit à l’origine d’une pièce de théâtre ( signée Harold Pinter), on peut parler d’une relecture. Et l’on peut compter sur Kenneth Brannagh pour son savoir- faire du théâtre filmé. C’est le décor qui joue le rôle principal, redonnant un éclairage très particulier du huit-clos. L’angoisse naît de l’organisation des espaces et de la complexité architecturale à la fois dénudée et complexe. Les deux interprètes sont inégaux, l’avantage revenant nettement à Michael Caine, qui interprétait déjà la version de Mankiewicz(1972) que je n’ai pas vue.
mercredi, février 20, 2008
Le Limier
Puisque j’ai la chance de pouvoir bénéficier d’une des quatre salles en France qui diffuse ce remake du limier, j’en profite. Et puisqu’ il s’agit à l’origine d’une pièce de théâtre ( signée Harold Pinter), on peut parler d’une relecture. Et l’on peut compter sur Kenneth Brannagh pour son savoir- faire du théâtre filmé. C’est le décor qui joue le rôle principal, redonnant un éclairage très particulier du huit-clos. L’angoisse naît de l’organisation des espaces et de la complexité architecturale à la fois dénudée et complexe. Les deux interprètes sont inégaux, l’avantage revenant nettement à Michael Caine, qui interprétait déjà la version de Mankiewicz(1972) que je n’ai pas vue.
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