La jeune réalisatrice Rebecca Zlotoswski réussit à dépeindre un univers fermé et sait y rendre palpable la tension omniprésente dans les rapports humains comme dans la dangerosité des interventions.
Mais si le couple Tahar Rahim/Lea Seydoux apparaît comme une évidence cinématographique (comme le couple Cécile de France /Jean Dujardin récemment dans Mobius ), j'attendais encore plus du jeune acteur qui avait été
si formidable dans Un Prophète. Va-t-il être
cantonné (et même muré) maintenant dans des rôles de prolétaire
taiseux et géniteur ( comme dans Le Passé où
j'avais déjà regretté déjà un peu
son rôle- ou son personnage- assez passif). Ici c'est pire
encore! Il faut dire que les images sont toutes tellement redondantes
aussi bien dans l'herbe que sous la douche.... La sensualité
qui se dégageait du premier baiser avec Lea Seydoux et de
leurs premiers attouchements s'en trouve vite émoussée.
Reste le sujet sur le nucléaire: je me garderai bien de prendre position sur la véracité des scènes qui prennent parfois le mode reportage (et qui ont été tournées dans une centrale nucléaire autrichienne qui n'a jamais mise en route) , je sais trop combien les réalités industrielles sont mal appréhendées par le commun des mortels!
Reste le sujet sur le nucléaire: je me garderai bien de prendre position sur la véracité des scènes qui prennent parfois le mode reportage (et qui ont été tournées dans une centrale nucléaire autrichienne qui n'a jamais mise en route) , je sais trop combien les réalités industrielles sont mal appréhendées par le commun des mortels!
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