Abscon, verbeux j'ai essayé de m'accrocher à cette narration difficile qui se passe dans le huit-clos de l'intérieur d'une limousine blanche où l'on ne voit presque que le personnage central face à ses obsessions charnelles ou névrotiques. La lecture du roman de Don DeLillo dont David Cronenberg a tiré ce film m'éclairera peut-etre.
Comme l'art abstrait cette fable métaphysique sur la fin du capitalisme se mérite.....je ne peux me permettre de juger ce que je n'ai pas su capter.
samedi, juin 09, 2012
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1 commentaire:
Bravo pour votre site, je crois qu’il dépanne beaucoup de personnes, moi en tout cas il m’est très utile, continuez comme cela et bon courage !!!!
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