Ce film très attendu n'en est pas moins anecdotique car au rythme où vont les évènements et les scoops,cette histoire qui nous conte l'ascension de Nicolas Sarkozy nous parait déja un peu "dépassée"....
Sans expertise politique, je me suis focalisée plutôt sur le casting: il y a de très bonnes surprises: avec Bernard Lecoq en Jacques Chirac absolument remarquable et à l'opposé Dominique de Villepin raté car vraiment trop caricatural... (enfin espérons); de même Rachida Dati, peu présente me paraît très sous-estimée en taille et en aura. Cécilia (Florence Pernel) est crédible, mais son personnage n'en dévoile guère plus que les pages de Paris Match, quant au futur Président, le choix de Denis Podalydes était forcément un gage de réussite. Parmi toute la pléiade d'acteurs je citerai ceux qui m'ont fait sourire ou que j'ai trouvé cocasses comme Mathias Mlekuz (Frank Louvrier), Dominique Besnehard (Pierre Charon) et Hyppolyte Girardot (Claude Guéant).
Sans expertise politique, je me suis focalisée plutôt sur le casting: il y a de très bonnes surprises: avec Bernard Lecoq en Jacques Chirac absolument remarquable et à l'opposé Dominique de Villepin raté car vraiment trop caricatural... (enfin espérons); de même Rachida Dati, peu présente me paraît très sous-estimée en taille et en aura. Cécilia (Florence Pernel) est crédible, mais son personnage n'en dévoile guère plus que les pages de Paris Match, quant au futur Président, le choix de Denis Podalydes était forcément un gage de réussite. Parmi toute la pléiade d'acteurs je citerai ceux qui m'ont fait sourire ou que j'ai trouvé cocasses comme Mathias Mlekuz (Frank Louvrier), Dominique Besnehard (Pierre Charon) et Hyppolyte Girardot (Claude Guéant).
Cependant, le film est très intéressant pour les dialogues, remis dans le contexte, et dont je n'imaginais pas la crudité et la méchanceté même dans son propre camp!
Le montage prend le parti de montrer simultanémént « Nicolas » le jour du second tour et son parcours depuis 2002; donc l'action se situe en deux dimensions, l'une sur 24h, l'autre sur 5 ans; cela permet au film de ne pas être ni lassant ni redondant.
Le montage prend le parti de montrer simultanémént « Nicolas » le jour du second tour et son parcours depuis 2002; donc l'action se situe en deux dimensions, l'une sur 24h, l'autre sur 5 ans; cela permet au film de ne pas être ni lassant ni redondant.
La musique est abominable, semblant nous être assénée ....comme les discours politiques?
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