Cette mosaique d'images retrace l' histoire sur un mode monolithique de l'Indochine: la guerre, puis une autre guerre etc.... On aurait aussi aimé voir des images plus paisibles ( qui ne soient pas seulement celles des colons en train de danser, qui accentuent le parti pris anticolonialiste). C'est un film d'impressions, avec des images travaillées, insolites ou dramatiques, en noir et blanc puis en couleur, sur fond de textes très nombreux que l'on n'identifiera qu'au générique de fin.
Ce film "envoutant", nous dit le directeur du Balzac semble donc s'adresser à une minorité érudite qui saura retrouver son chemin au fil des lieux , des dates et de la littérature. C'est dommage que Jacques Perrin n'ait absolument pas voulu être, un peu,pédagogue.
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