Jubilatoire cette pièce de Jean-Michel Ribes portée à l'écran sous forme d'une fable outrancière mais drolatique, si l'on excepte deux gags lourdauds, dont celui de Josiane Balasko. Que des trouvailles, des fou rires (André Dussolier en ministre de la culture), et un casting inimaginable. Comique de répétition, comique de situation ( parfois même au 2ème degré quand Daniel Prévost nous dit qu'il se rappellerait du parking Vélasquez puisque c'est le nom de son assureur bien connu de ceux qui subissent encore la pub sur la chaîne publique, puis nouveau clin d'oeil lorsque l'ont voit une "menine" passer avec sa douairière) et surtout comique de caractères.Tous les acteurs petits et grands de la scène ( y compris la Comédie Française), des séries télévisées et du cinéma se retrouvent en effet dans ces musées parisiens, pour le meilleur (musée haut) et souvent pour le pire (musée bas). Pour le côté réflexion on assiste à une révolte de la nature contre l'art. La nature reprend ses droits et l'art dérive comme le radeau de la méduse....Les portraits sont cocasses, parfois sans pitié et chaque personnage a été calqué sur son interprète sans craindre d'accentuer les clichés: Gérard Jugnot en français moyen, Isabelle Carré en jeune femme éternellement radieuse et son compagnon Pierre Arditti triste et grincheux etc... et tous semblent y prendre plaisir comme nous.
dimanche, décembre 07, 2008
Musée haut, musée bas
Jubilatoire cette pièce de Jean-Michel Ribes portée à l'écran sous forme d'une fable outrancière mais drolatique, si l'on excepte deux gags lourdauds, dont celui de Josiane Balasko. Que des trouvailles, des fou rires (André Dussolier en ministre de la culture), et un casting inimaginable. Comique de répétition, comique de situation ( parfois même au 2ème degré quand Daniel Prévost nous dit qu'il se rappellerait du parking Vélasquez puisque c'est le nom de son assureur bien connu de ceux qui subissent encore la pub sur la chaîne publique, puis nouveau clin d'oeil lorsque l'ont voit une "menine" passer avec sa douairière) et surtout comique de caractères.Tous les acteurs petits et grands de la scène ( y compris la Comédie Française), des séries télévisées et du cinéma se retrouvent en effet dans ces musées parisiens, pour le meilleur (musée haut) et souvent pour le pire (musée bas). Pour le côté réflexion on assiste à une révolte de la nature contre l'art. La nature reprend ses droits et l'art dérive comme le radeau de la méduse....Les portraits sont cocasses, parfois sans pitié et chaque personnage a été calqué sur son interprète sans craindre d'accentuer les clichés: Gérard Jugnot en français moyen, Isabelle Carré en jeune femme éternellement radieuse et son compagnon Pierre Arditti triste et grincheux etc... et tous semblent y prendre plaisir comme nous.
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