Divorced, biheaded, died, divorced, biheaded, survived… rappelons-nous nos cours sur l’ histoire de l‘Angleterre aux débuts de l‘anglicanisme. Ici le réalisateur ne nous évoque que les trois premieres reines: Catherine d’Aragon, Ann Boleyn puis Jane Seymour et nous raconte plus particulièrement un épisode que nous n’avions pas appris en classe: comment Ann va triompher de sa sœur et concurrente Mary. Henri VIII n’est pas encore Barbe Bleue; il est séduisant et magnifique et il peut même s’offrir le luxe d’être un homme épris. Il en viendra même à être dominé par la jeune Natalie Portman qui joue merveilleusement Ann Boleyn qui ne fait qu’une bouchée de sa jeune sœur Mary ( Scarlett Johansson qui de par son rôle parait ici mièvre et fade comparée à sa rivale). Tout cela n’a qu’un temps et la politique et le pouvoir rendent les hommes biens lâches, bien serviles et terriblement brutaux…. Bien sûr, cela n’est pas une découverte mais la mise en scène du faste de la cour est vraiment fabuleuse et les dialogues réjouissants. Entre tragédie shakespearienne et roman photos cette histoire vraie ne parait pas toujours vraisemblable mais on peut tout simplement se laisser porter par les images.
samedi, avril 12, 2008
Deux soeurs pour un roi
Divorced, biheaded, died, divorced, biheaded, survived… rappelons-nous nos cours sur l’ histoire de l‘Angleterre aux débuts de l‘anglicanisme. Ici le réalisateur ne nous évoque que les trois premieres reines: Catherine d’Aragon, Ann Boleyn puis Jane Seymour et nous raconte plus particulièrement un épisode que nous n’avions pas appris en classe: comment Ann va triompher de sa sœur et concurrente Mary. Henri VIII n’est pas encore Barbe Bleue; il est séduisant et magnifique et il peut même s’offrir le luxe d’être un homme épris. Il en viendra même à être dominé par la jeune Natalie Portman qui joue merveilleusement Ann Boleyn qui ne fait qu’une bouchée de sa jeune sœur Mary ( Scarlett Johansson qui de par son rôle parait ici mièvre et fade comparée à sa rivale). Tout cela n’a qu’un temps et la politique et le pouvoir rendent les hommes biens lâches, bien serviles et terriblement brutaux…. Bien sûr, cela n’est pas une découverte mais la mise en scène du faste de la cour est vraiment fabuleuse et les dialogues réjouissants. Entre tragédie shakespearienne et roman photos cette histoire vraie ne parait pas toujours vraisemblable mais on peut tout simplement se laisser porter par les images.
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